█ COMBiEN SONT-iLS DANS LE MONDE?

Ce WEBSiTE est celui des pauvres, pauvres d'argent, pauvres d'esprit et pauvres dans leur coeur, opprimés, abusés et désabusés.
Ceux-là qui ne voient pas la couleur de leurs efforts, ceux qui sont en difficulté tout court, ceux qui ne bouclent pas leurs années, leurs mois, leurs journées, ceux qui ne voient pas la couleur de leurs argent, qui ont du mal à cueillir les fruits de leur travail, ceux qui n'ont pas d'enfants, ceux à qui la misère ôte leurs enfants et ceux qui ne trouvent pas la porte de sortie, l'entrée c'est ici...
Ceux qui ne connaissent pas l'amour, ont perdu l'amour de leur vie, ont échoué, qu'il sachent que tout se répare, avec patience et parfois sans effort, il suffit d'y croire.
Avec l'aide de la nature, de la science, de l'argent ou sans argent, de la croyance, de la chance, l'écoute et l'aide des autres et de la société, tout est à peu près possible. Mais y en a-t-il pour tout le Monde? On dirait bien que non, que certains en mangent plus que d'autres, que le partage est inégal.
On a beau mettre le paquet, bénévoles, associations, organisations et organismes, collectivités de toutes sortes, Etats et Fondations, Religions et j'en  passe, les pauvres se comptent toujours par millions sur La Terre.
Ils disparaissent à cause de la misère et ils naissent dans la misère.
Une personne locataire, à découvert sur son compte bancaire, sans patrimoine en propre, avec un travail précaire et des charges familiales, est-elle plus pauvre qu'un mendiant au soleil qui n'a pas de dettes? Il y a différentes misères, qui génèrent frustration, dépression et maladie, délits et maux de toute sorte. Ce terreau là n'est pas bon, pas plus que celui de l'opulence.
La misère est bien punie, c'est certain. Cette population qui porte un nom est stockée dans ce qui ressemble à une situation du passé. Population confinée dirons nous.
Quel est simplement la clé de la porte qui permet de sortir définitivement de la misère?
Il y en a une, sachez-le. On appelle cela le moral. Avez-vous le moral, avez-vous encore la pêche, du tonus, envie de lutter, de vivre, de vous projeter, non pas dans le vide, mais dans le futur, construire, participer. Avez-vous un moral d'acier?
Si la société ne vous aide pas, si les forces naturelles et anti-naturelles ne vous y aident pas, réussirez-vous à mettre le crabot et sortir de l'ornière?
La misère engendre paralysie de l'esprit et passivité du corps. La faim épuise.
Tout se joue là. La fatalité existe. Le handicap est parfois insurmontable et vous êtes diminué, rabaissé, déstabilisé et annéanti.
Le principe de la vie est comme celui du feu, ce feu que les hommes ont découvert, on aimerait bien savoir comment exactement cela s'est passé la première fois. Bref, toujours est-il que pour se chauffer avec un grand foyer, il faut commencer par un petit et l'alimenter. Un peu de paille, trois brindilles, du papier, du menu bois et c'est parti. Amenez les grosses bûches. Mais ne rêvons pas, en ville il n'y a que du béton et de belles vitrines, vous passeriez en plus pour incendiaire.En campagne c'est la même chose, les feux sont interdits à cause du réchauffement de la Planète.
Ce qu'il faut retenir, c'est le principe: aller de petit à grand, par étapes, progressivement et régulièrement, sans relâche, en dosant son effort. Tel est le fonctionnement de la Nature, aux aléas près.
Le hasard fait bien les choses, car nous sommes sur une Planète qui tourne, avec une grosse lampe qui nous éclaire et nous chauffe par le côté, le Soleil brille pour tous. Ainsi chaque jour, une pause est autorisée la nuit.
En résumé, l'énergie dont nous avons besoin est importante tant pour les muscles que pour l'esprit. Voilà.
Y a-t-il un rapport entre une alimentation saine et suffisante et la force d'esprit? Le cerveau est un organe comme un autre qui fonctionne avec plusieurs carburants. Un appétit comblé, un peu de café, une vie de famille équilibrée, un travail sûr que l'on tient du sérieux, un confort correct, il n'en faut parfois pas plus à notre époque pour mener une vie paisible d'un bout à l'autre et perpétuer l'humanité.
Pour parler, il faut avoir vécu. 
Patrick GEFFRAULT